RESUMO
This study examines the impact of distance learning via Zoom on Arab students in Hebrew academia in Israel, from an academic and socio-individual level. The qualitative research methodology implemented in this study is based on in-depth interviews with 28 male and female master's students in two academic institutions in Israel. The findings show that learning despite certain difficulties, studying remotely via Zoom made the Arab students more comfortable, and were encouraged to participate more in the lessons. It seems that when studying in class with Jewish students in these institutions arouses fear and self-censorship among Arab students, in turn decreasing their desire and confidence to express themselves in class. As such, learning from home while ‘hiding' behind the camera decreases their inhibition and offers new opportunities for greater self-expression. © 2023 Korean Association for Multicultural Education.
RESUMO
Objectifs L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) joue un rôle majeur dans la physiopathologie de la COVID 19, et il est bien connu que les testicules sont un grand réservoir pour cette enzyme. Cependant, peu de données sont disponibles sur les conséquences uro-génitales de cette maladie. Cette étude vise à décrire l’évolution hormonale masculine durant la COVID-19 et après la guérison de cette maladie. Méthodes Les hommes entre 20 et 50 ans diagnostiqués de COVID-19 ont été inclus sur une période de 6 mois. Le profil hormonal masculin (FSH, LH et testostérone) a été recueilli pendant la phase aiguë et à 6 semaines après la guérison avec une PCR négative. Les données démographiques des patients, les co-morbidités, la gravité de la maladie, les symptômes d’hypogonadisme (dysfonctionnement sexuel, diminution de la croissance des cheveux et de la fréquence du rasage), la durée et l’intensité de la fièvre ont été évalués. Les relations entre les variables ont été évaluées à l’aide de la régression linéaire multiple via le logiciel SPSS. Résultats 132 hommes d’un âge moyen de 34 ans(SD=10,5) ont été inclus. Les principales co-morbidités étaient le diabète (5,9 %), les maladies cardiovasculaires (14,7 %), l’asthme (2,9 %) et l’obésité (20,6 %). Les taux moyens de FSH, de LH et de testostérone pendant la maladie étaient respectivement de 3,28 mUI/ml (SD=0,14), 6,63 mUI/ml (SD=2,5) et 2,83ng/ml (SD=1,46). Après récupération, ces taux étaient respectivement de 3,49 mUI/ml (SD=2,03), 4,84 mUI/ml (SD=1,8) et 3,88 mUI/ml (SD=1,56). Des symptômes d’hypogonadisme ont été identifiés chez 29,4 % pendant la phase aiguë et 26,5 % après la guérison. Les résultats de la régression multiple ont révélé que la durée de la fièvre >2jours (IC à 95 % -2,15) et la concomitance d’un dysfonctionnement sexuel avec la maladie (IC à 95 % -2,045) étaient des variables prédictives significatives des taux réduits de testostéronémie. Conclusion Pendant la phase aiguë de la COVID-19, les hommes souffrent d’hypogonadisme avec des niveaux réduits de testostérone et de FSH et des niveaux accrus de LH. Les hormones masculines se normalisent spontanément après la guérison. La durée de la fièvre supérieure à 2jours et la concomitance d’un dysfonctionnement sexuel sont des facteurs prédictifs des faibles taux de testostéronémie.